Les secrets de l’eau (1/2): Quelle eau boire? Comment la traiter?

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L’eau, vaste sujet d’étude car pour le maitriser il nous faut avoir de solides connaissances en biologie, chimie, physique quantique et aussi énergétique. C’est également un objet de polémique puisque tout ce qui est lié à l’eau au niveau des alternatives de santé, comme l’homéopathie, le magnétisme, etc.., sont des disciplines fortement décriées par la doxa dominante. Les découvertes plus ou moins récentes qui pourraient révolutionner la médecine nous sont aussi cachées, et notamment le fait que l’eau aurait la capacité de STOCKER l’information mais aussi de la RESTITUER. 

Alors, que sait-on de l’eau? Quels sont ses bienfaits? Comment boire une eau de qualité? Quelles sont les différentes eaux de « boisson » ? C’est ce que cet article vous propose de découvrir. 

Que sait-on de l’eau?

Les plus grands réservoirs d’eau sont: 

Notre planète: 71% de la surface de la Terre est composé d’eau, à la fois de l’eau salée des mers et des océans, mais aussi de la vapeur d’eau qui se trouve dans l’air. 2% seulement de toute cette eau est de l’eau douce, et seulement 1% est exploitable, c’est dire sa rareté et son importance.

Notre organisme, où l’eau représente 60 à 70% de notre poids. Elle se trouve essentiellement dans la lymphe, le sang et les liquides interstitiels mais on ignore souvent que 2/3 de l’eau se trouve dans nos cellules!

La qualité de l’eau a donc un impact considérable sur l’état de notre santé physique et énergétique. Il ne peut y avoir de vie sur Terre sans eau, d’où son caractère sacré.

Pourquoi l’eau est-elle si extraordinaire ?

  • Elle a des propriétés solvantes très puissantes. On sait que EAU=H2O soit 2 ions hydrogènes (positifs) et 1 ion oxygène (négatif). De cet fait, on dit qu’elle est bipôle et elle peut attirer à elle à la fois des ions positifs ET négatifs; et cette propriété est importante car elle peut donc emporter avec elle énormément de substances sous forme dissoute (dans l’air, les sols, et le corps via les reins). C’est donc un solvant universel.
  • C’est le seul élément présent sous plusieurs états: solide, liquide, gazeux et, récemment découvert, « cristal-liquide ».
  • Elle est mystérieuse car elle possède des caractéristiques chimiques dites « anormales » par rapport aux autres éléments. Par exemple, son volume augmente en dessous de 0 degré alors que les autres substances se contractent quand la température baisse, et inversement.

La découverte d’un quatrième état de l’eau

Des chercheurs ont mis en évidence un 4ème état de l’eau dans le corps et en particulier à l’intérieur des cellules. A partir de divers postulats, ils pensent que l’eau présente dans le corps ne s’y trouve pas à l’état liquide (on ne peut pas presser nos organes ni ceux des animaux et en sortir de l’eau, alors même que le muscle est composé de 80% d’eau par exemple; lorsqu’on meurt le corps et les tissus perdent leur forme et leur structure) mais sous forme d’un gel de cristal liquide . Au contact de n’importe quel matériau hydrophile, l’eau se structure donc dans ce 4ème état. Dans cet état (chargée négativement), elle peut stocker l’énergie lumineuse environnante. Au niveau des membranes cellulaires, la différence de potentiel électrique entre le milieu intérieur et le milieu extérieur génère de l’énergie et l’eau agirait comme une mini centrale hydro-électrique. Certains scientifiques vont même jusqu’à postuler que la principale centrale d’énergie de la cellule pourrait être cette eau (qu’on appelle « EZ » ou interfaciale) chargée par la lumière environnante, et non les mitochondries! L’exposition au soleil jouerait donc un rôle primordial dans la production d’énergie de notre corps.

Rappel: l’eau est vitale pour notre santé, elle est même le premier geste santé

L’eau exerce de nombreuses actions bénéfiques, parmi elles : 

  • Régulation de la température du corps via la transpiration
    • Effet diurétique et laxatif : excrétion des déchets sous forme d’urine et stimulation du péristaltisme 
    • Stimulation du métabolisme : en devenant sang ou lymphe, l’eau apporte nutriments et oxygène aux cellules, emporte les déchets, améliorant le métabolisme
    • Effet de désintoxication et de dilution : elle neutralise ou dilue les substances toxiques qui ont pénétré dans l’organisme (d’où le conseil de boire beaucoup d’eau le lendemain d’une soirée « arrosée »)
    • Effet sur la circulation du sang : en maintenant le sang à une densité adéquate, l’eau facilite la fluidité de la circulation et permet de prévenir les maladies liées à une mauvaise hygiène de vie
    • Elle règle la tension artérielle, protège les articulations et les organes

Notre organisme a donc besoin de 2,5 l d’eau par jour (1.6 l pour les enfants). La boisson seule (eau, café, tisanes, soupes, jus) devrait en apporter 1 à 1.5 l – environ 8 verres . Le reste provient d’aliments riches en eau (fruits et  légumes notamment : la pastèque, le concombre, la courgette, la tomate sont ceux qui sont le plus riches en eau). Mais on peut boire moins si on consomme énormément d’aliments riches en eau.

L’eau est notre premier atout-santé, il faut donc:

  • Boire régulièrement à petites gorgées, ne pas attendre d’avoir soif pour boire
  • Privilégier l’eau plate à température ambiante, l’eau glacée pouvant perturber la digestion
  • Toujours s’hydrater au réveil
  • Augmenter sa consommation d’eau en cas de chaleur, fièvre, en altitude et lors de la pratique d’un sport
  • Boire selon sa soif, ne pas se forcer à boire deux litres si le corps n’en a pas besoin – Si vous êtes déminéralisé = si vous manquez de minéraux dans le corps ( calcium, potassium, magnésium), le fait de boire beaucoup d’eau sera encore plus inutile. En effet vous ne la fixerez pas (vous le constaterez en voyant vos urines qui seront très claires). Même pire, vous ferez de l’œdèmecar l’eau restera stockée dans les cellules. 

Quelle eau boire?

L’eau fonctionne en circuit fermé sur Terre. C’est donc de la folie de polluer l’eau du réseau pour ensuite dépenser une énergie considérable à la rendre « potable » pour les humains avec des produits comme le chlore ou d’autres traitements chimiques. Sans parler de l’eau qui est censée alimenter les végétaux et les animaux ! 

L’eau du réseau, dite « eau du robinet »

On nous dit que l’eau du robinet est potable donc buvable, et qu’elle serait sans danger pour notre santé. Il « suffirait » de carafer l’eau pour que les polluants s’évaporent. Cependant, à l’été 2019, on découvrait que l’eau de certains départements avait été contaminée au tritium, un composé radioactif issu des centrales nucléaires. Sans risque, donc ..?

L’eau du réseau (public ou privé), qu’on appelle communément eau potable ou eau « du robinet », qu’elle soit utilisée en agriculture, pour les eaux de baignades ou en tant que boisson pour les animaux et les humains, pose plusieurs problèmes. 

L’eau du robinet dite « potable » contient, selon les régions, de nombreux polluants et contaminants : perturbateurs endocriniens (mis en cause dans les cancers du sein notamment), antibiotiques, engrais, pesticides, fongicides, herbicides, solvants, hormones de croissance, des micro-organismes pathogènes tels que des chlamydias, des parasites, des éléments radioactifs : radium, strontium 90, plutonium. Le Chlore qui a été ajouté à l’eau potable au début de la « pandémie » est par exemple un modificateur de terrain et sa consommation favorise les cancers (on estime que 18% des cancers de la vessie seraient imputables à la chloration de l’eau en France)

Elle contient aussi des métaux lourds et de nombreux minéraux inorganiques. Car de nombreuses molécules passent au travers du système de dépollution donc elles continuent de circuler et de s’accumuler sans être éliminées. Cette eau n’est pas bio-compatible. C’est à dire qu’elle n’est pas adaptée au vivant car elle obéit à des normes qui ne sont pas pertinentes. 

Sur les 5000 ou 1 0000 toxiques qui existent, on ne teste « que » une cinquantaine de polluants (métaux lourds, toxiques..). Par exemple, les résidus de médicaments ne sont pas pris en compte ! 

Les seuils de toxicité des polluants testés ont été déterminés soit par rapport à des expériences sur les animaux (rats) et non sur cultures cellulaires vivantes, soit par empirisme. Prenons deux exemples: on sait que pour le plomb, une très petite dose va être dangereuse pour l’homme (« la dose fait le poison « ). Par contre, dans le cas des perturbateurs endocriniens présents à faible dose,  il est impossible d’établir un seuil de dangerosité. Pour pouvoir afficher un seuil de toxicité, on procède donc à des calculs aléatoires. Ce qui ne peut pas refléter la réalité.

Enfin on ne tient pas compte de la synergie entre les différents polluants lorsqu’on établit ces seuils individuels.

Exemple: 3000 molécules pharmaceutiques provenant des déjections de personnes sous traitement médicaux aboutissent finalement dans l’eau du robinet. 

Je vous laisse imaginer les effets des campagnes de vaccination massives sur le rejet de toxiques sur la qualité du réseau d’eau

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter le site de Yann Oliveaux dont j’ai résumé les recherches.

L’eau en bouteille

Les eaux en bouteille, elles, sont régulièrement soumises à analyse par les associations de consommateurs. Il reste encore pourtant sur certains échantillons des traces d’herbicides et d’autres polluants ! 

Donc du fait de leur caractère inorganique, les eaux minérales (= riches en minéraux donc) ne combleront pas vos déficits. Même si le message marketing veut vous faire croire le contraire ! Si vous lisez attentivement les étiquettes, vous verrez que certaines marques ont un résidu à sec (la quantité de résidus de minéraux après évaporation) de 350 mg/l. Alors que la quantité acceptable pour la santé humaine serait de 50 ml/l. Mais c’est une mention que personne ne regarde jamais sur les emballages. Les résidus secs doivent être le plus faible possible.

Les autorités officielles et les industriels ont beau essayer de nous rassurer sur le fait que les micro-plastiques des emballages (PET) seraient inoffensifs, que les bouteilles ne libéreraient pas de dioxine lorsqu’elles sont exposées à la chaleur, que les bouteilles en PET ne représenteraient « que » 0,8 % du poids des déchets ménager …donc n’aggraveraient pas la pollution des océans, le doute est là! 

Consommer de l’eau en bouteille pose aussi un problème pour la planète. Du fait du grand nombre de bouteilles en plastique à recycler et du bilan carbone catastrophique (en moyenne 300 km de sa source à la bouche du consommateur). Mais ce qui s’avère le pire, c’est qu’on retrouve des perturbateurs endocriniens dans les plastiques utilisés. 

Si vous devez consommer de l’eau en bouteille, je vous recommande de privilégier les eaux de source pauvres en minéraux comme Mont Roucous ou les eaux de montagne, comme Mont Blanc.

L’eau « biocompatible »

Une eau biocompatible est une eau alimentaire de qualité favorable à la santé, donc une eau qui réunit ces 4 critères

  • elle doit être pure (peu de bactéries, de germes et de contamination fécale et de pollution chimique)
  • elle doit être légère, à savoir peu minéralisée ( avec des résidus secs inférieurs à 50 mg). Les minéraux de l’eau sont dits inorganiques – ils ne pénètrent pas dans les cellules-, et peu assimilables, du fait qu’ils ont était embouteillés ou sont passés dans le réseau et ont perdu leur « structure » et donc leur charge électrostatique. Ils vont avoir comme effet de venir se loger dans les tissus, sur la paroi des artères ou dans les organes. Ce qui provoque des calcifications et des calculs de toute sorte. De plus, ils surchargent la fonction rénale. A l’inverse les eaux très pures, c’est-à-dire dépourvues de minéraux, ne sont pas adéquates non plus sur le long terme car trop agressives pour nos organismes.
  • elle doit être acide (PH de 6 à 7)
  • elle doit être structurée (cf vortex)

Pour obtenir une eau biocompatible, il faut donc qu’elle provienne de la source la plus pure possible et qu’elle soit ensuite filtrée, puis redynamisée.

Les techniques de purification de l’eau

La filtration de l’eau consiste à éliminer toute particule généralement supérieure à 0.1 micron.

Il existe différents procédés:

Les carafes filtrantes à charbon actif

Elles associent généralement dans leurs petites cartouches du charbon actif et des résines échangeuses d’ions. 

Avantages: 

Le charbon actif retient le chlore et une partie des résidus de pesticides. 

Les résines captent une partie du calcium pour le remplacer par du sodium (comme dans les adoucisseurs), certains métaux comme le plomb ou une partie des nitrates. 

Inconvénients: 

Si la capacité maximale d’absorption a été atteinte, il peur se produire un rzlargae brutal des produits pollants accumulés par saturation. Il faut donc régulièrement changer le filtre. les cartouches peuvent aussi relarguer des bactéries ou des particules issues du charbon actif ou des résines lors de leur mise en route et en fin de cycle. Certaines carafes enrichissent l’eau en éléments indésirables : phtalates, sodium ou sels d’argent (utilisé comme antibactérien). 

Les tests réalisés par « Que Choisir » et « 60 millions de consommateurs » ont montré une bonne efficacité pour le chlore et les mauvais goûts. Mais des résultats irréguliers ou assez peu probants sur les autres critères. 

Les filtres mécaniques : filtres membranaires ou en céramique 

Il existe des membranes filtrant ce qui est supérieur à 0.1 micron, à 0.01 micron et en dessous de 0.001 micron.

Mais ces filtres se colmatent rapidement et entrainent une diminution du débit de l’eau.

La distillation par gravité avec des matériaux frittés comme le système de filtration Berkey

Le must du must! Ce système est extrêmement performant. Il filtre tous les nuisibles, le chlore, les métaux lourds, les bactéries et résidus chimiques mais conserve les minéraux de l’eau. Il est peu bruyant, ne nécessite pas d’électricité et peut s’emporter partout. Les filtres durent 10 ans. 

Inconvénient: il est très coûteux à l’achat, mais il devient vite rentable puisqu’on n’achète plus d’eau en bouteille. C’est le système que j’utilise désormais, en redynamisant l’eau en sortie avant de la consommer. 

L’osmose inverse

Son système de filtrage très fin ne laisse passer que les molécules d’eau car il filtre tout ce qui est supérieur à 0.0001 micron. Elle élimine 100% des virus, le chlore, 98% des micro-organismes etc. On peut donc équiper son domicile d’osmoseurs, des appareils à placer sous l’évier pour filtrer l’eau. Il y en a d’assez bon marché dans le commerce.

Inconvénients: 

Le débit est faible et l’appareil complexe. De surcroit, la plus grande précaution s’impose avec cette technique. Car il faut nettoyer les filtres et les changer tous les 12 à 18 mois pour ne pas qu’ils deviennent des nids à bactérie. 

L’autre problème de cette méthode est qu’il faut 3 à 7 fois plus d’eau pour obtenir un litre d’eau pure. C’est donc par conséquent un désastre écologique.  

Enfin, le passage des molécules d’eau à travers la membrane entraine une destructuration de l’eau qui donne une eau à 5mg/l; cette eau n’est donc pas appropriée pour la boisson sur du long terme, elle peut être agressive pour l’organisme car trop solvante.

C’est donc une technique à réserver à ceux qui sont touchés par les pollutions agricoles environnantes ou dont l’eau présente des dépassements de normes de pollution.

La distillation

La technique consiste à chauffer l’eau pour la transformer en vapeur. Elle reproduit le cycle naturel de l’eau : évaporation, condensation, puis précipitation La distillation un procédé qui permet de supprimer 99,8 % des résidus toxiques

Inconvénients: 

  • Boire régulièrement de l’eau trop pure va déminéraliser l’organisme ce qui va le conduire à aller chercher du milieu extra cellulaire pour tenter d’équilibrer le milieu intra cellulaire, et créer des œdèmes ou de la rétention d’eau chez certaines personnes (il est alors recommandé de lui ajouter du jus de citron , de l’eau de Quiton ou de la chlorophylle pour la reminéraliser et la dynamiser)
  • L’eau est chauffée donc déstructurée, sa qualité vibratoire est altérée (même s’il est possible de la « réinformer » avec une carafe formant un vortex par exemple).
  • Le procédé est énergivore car le matériel est électrique, la distillation prend plusieurs heures pour 3 à 5 litres, et l’appareil fait du bruit.

J’ai fait l’acquisition d’un Megahome il y a deux ans pour 249 euros. Je l’ai gardé un an avant de changer de système pour les inconvénients mentionnés ci-dessus. Mais une cure de temps en temps ou avant de démarrer une detox est très profitable. De plus, en cas de besoin en eau, il est possible de s’en servir pour purifier des eaux de rivière ou des eaux de pluie.

Conclusion pour boire de l’eau sans risque pour sa santé

Partir de l’eau du réseau. Si elle n’est pas trop calcaire, car le calcaire va obstruer les appareils. Sinon prendre de l’eau de pluie. Puis la distiller avec l’appareil de votre choix.. Ensuite dynamiser l’eau distillée avec un bouchon de plasma de Quinton, quelques gouttes de jus d’un fruit frais (citron) ou de jus de légume, de chlorophylle ou de spiruline liquide. Tout ce qui permettra de redonner une information minérale à l’eau sera adapté. 

On peut donc utiliser une fleur de vie, inscrire des mots positifs sur la bouteille, choisie en verre bleu de préférence, créer un tourbillon/vortex… et surtout y mettre plein de belles intentions.

Dans la deuxième partie de l’article, je parlerai de l’aspect énergétique de l’eau…

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